lundi 29 octobre 2012

De Rome à Marseille


Le 9 septembre nous quittons Rome et remontons plein Nord. Il fait beau et un petit vent de travers rend la navigation agréable.
Un passager clandestin
Nous faisons deux mouillages  le long de la cote italienne : Santa Marinella au sud de Civitavecchia, et l'Isolotto à Porto Ercole.
A l'Isolotto nous étions le seul bateau au mouillage entre un ilot et la terre, mais cela a été agité tant que les bateaux au moteur rentraient du week end depuis les iles proches.






Nous arrivons ensuite à l'ile d'Elbe et mouillons dans la baie de Porto Ferraio.
Les ferry décorés italiens
Visite de la ville qui a vu Napoleon séjourner. Nous avons aimé la rade, le port, les ruelles et les places, les jolis points de vue quand on monte sur les remparts.
A regret nous ne passons qu'une nuit içi, car le temps va se dégrader.







Lever de soleil dans la rade de Porto Ferraio











Nous rejoignons la Corse et mouillons à Erbalunga.
Nous sommes surpris de trouver un fond de sable dans cet environnement de cailloux.Le mouillage est superbe, nous y serons seuls pour la nuit. descente à terre au village.


Mouillage d'Erbalouga
Le lendemain nous allons au port de Toga à Bastia, pour se mettre à l'abri d'un coup de vent et surtout y attendre Adrien. C'est bon de revoir son fils après deux ans et de partager avec lui un bout de navigation. Il arrive quasiment directement de la Réunion.






Passage d'un grain à Bastia
Direction le cap corse, où nous mouillons à l'ouest des iles finocchiarola. Très belle balade à pied vers le cap corse rehaussé des couleurs du jour finissant.














En fin de nuit nous partons pour la traversée vers le continent. Au lever du soleil, nous passons entre le cap corse et l'ilot de la Giraglia, puis cap plein Est. Nous ferons la moitié de la traversée à la voile le reste au moteur. Les quarts de nuit de Noelle et Adrien ont été un peu stressants car nous sommes pile poil sur la ligne des cargos et ferry sans compter quelques pécheurs et autres plaisanciers.


Au tout petit matin nous attendons le lever du jour pour entrer à Port Man sur l'ile de Port Cros et mouiller. Nous sommes étonnés du nombre de bateaux au mouillage au mois de septembre. Il faut dire qu'il y a 35 ans que je ne suis venu içi à cette saison!.Après un tour à pied dans l'ile et une bonne nuit au mouillage nous allons sur Porquerolles au port pour s'abriter d'un petit coup de vent et accueillir Jenny.
Porquerolles est toujours aussi belle. Cela fait du bien de s'y promener et d'y respirer pins et eucalyptus.






Souvenirs de Corse


Belle navigation en rade de Hyères, mouillage devant la plage de Notre Dame, rebalade.
Par un bon vent d'est nous passons Sicié remontons par force 6 établi la baie de Six fours et mouillons en solitaire devant la plage.

Le lendemain nous passons entre ile verte et bec de l'aigle, saluons le copain de Jenny et Adrien sur son zodiac entrain de donner un cours d'apnée.









 
Nous mouillons pour le déjeuner à Sugiton, et allons mouiller à Marseille devant le port de la pointe rouge. Retrouvaille avec la famille...

Après deux nuits au port du frioul  (Jenny et Adrien nous y quittent) , nous allons au port de Corbières au nord de Marseille où le bateau est sorti de l'eau.
Cela sera le port d'hivernage.
Voilà la fin de ce beau voyage.
Le bateau va se reposer au moins 6 mois avant de repartir vers l'Atlantique.
Mais ceci est une autre histoire ....

lundi 10 septembre 2012

De Palerme à Rome

Jacqueline et Joël arrivent de Loctudy (notre ancien port d'attache) par avion.
Ils vont nous accompagner un peu plus de deux semaines.
Le bateau est suffisamment spacieux pour nous quatre avec ses deux salles de bain, ses trois cabines et même son cockpit pour dormir quand il fait trop chaud!

Nous laissons une journée à Jacqueline et Joël pour une visite expresse de Palerme, puis avitaillement et départ pour Cefalu. Dans la passe du port de Palerme nous faisons demi-tour pour laisser passer un immense bateau de croisière. Notre bateau parait tout petit à côté de ce gratte ciel flottant....

Ensuite direction les iles éoliennes.

Mouillage à Vulcano : mouillage encombré avec pas mal de fond. Après plusieurs tours et détours nous ancrons dans 5  m d'eau près de la digue du port. Baignade avec le masque : la mer est chaude  et nous apercevons les bulles  de gaz qui s'échappent du fond. On est vraiment sur un volcan!
Nous montons ensuite au sommet , mais le tour du cratère est impossible en raison des gaz qui s'échappent côté Est. Belle vue sur les iles. Le Stromboli est visible au loin.
A la nuit nous remontons sur Vulcano espérant apercevoir les lueurs rouges du Stromboli. Mais nous n'avons rien vu.
Nos quittons Vulcano pour Stromboli. Nous longeons la côte Nord et pouvons assister aux explosions toutes les 20 minutes avec jet de pierre qui dévalent la pente en fumant encore.
Mouillage d'après midi au stromboli : baignade pour aller à terre. Nous regrettons de ne pas être montés au sommet, car parait-il il faut réserver à l'avance...
Nous mettons les voiles en fin d'après midi direction la baie de Naples, de façon à voir les lueurs du Stromboli en début de nuit. Jacqueline et Joel verront pendant tout leur quart ces lueurs qui servirent de phare à Ulysse....

Après une nuit de navigation tranquille nous arrivons à Capri et mouillons au Sud de l'ile. Le mouillage est entouré de beaux rochers surgissant de l'eau. Le débarquement  n'est pas simple car tout est privé, un seul petit quai public où on ne peut laisser son annexe.
Petite balade à terre avec montée au village. Jolie vue sur l'ile, la baie de Naples avec le Vésuve au loin. Mais beaucoup trop de monde ....

Dans la baie de Naples nous trouvons une place dans le port de Torre del Greco (bien qu'au téléphone on m'ait dit que tout était plein).
C'est un port agréable, avec petits bateaux de pêche locaux, répartis dans des petites sociétés nautiques (comme on trouve à Marseille), où les locaux se retrouvent pour jouer aux cartes, discuter bref passer le temps. Une immense digue  avec un christ rédempteur qui fait face à  la ville et au  Vésuve, sert de promenade et de piste de jogging...
Le Vésuve domine de façon inquiétante cette petite ville très populaire.
Une gare nous permet d'aller visiter Pompei, Erculanum, le Vésuve et Naples.
Pour moi, depuis mes cours de latin de 6ème, Pompei figure dans mon imaginaire...
Nous parcourons ses rues une journée entière à vivre ces temps anciens et à faire revivre toute cette population détruite en quelques heures. Je pense à Hiroshima....
Erculanum nous surprend par la bonne conservation de ces maisons, et par le mystère de tous les vestiges encore enfouis pour des siècles sous la ville moderne...
Vésuve sous la pluie et le brouillard...
Un dimanche à déambuler dans Naples, et ses quartiers populaires qui en début d'après midi s'animent d'une chorégraphie d'une multitude de  vespa qui passent à quelques centimètres des piétons apeurés...

La navigation de Naples à Rome sera un peu plus musclée et surtout plus humide. D'abord un bon vent au passage de l'ile d'Ischia et des iles Pontines , puis des orages qui nous accompagnent toute la nuit, nous essayons d'éviter les zones d'éclair...


Nous arrivons dans la matinée a Ostie (grande banlieue de Rome) dans la marina dont l'entrée n'est pas évidente en raison de la houle d'ouest qui à tendance à déferler sur les hauts fonds. Pensée à Paolo Pasolini.
Deux jours de visite de Rome nous conduisent de petites places en petites places, de ruelles en ruelles, de musées en Vatican. Un peu rapide pour une si belle ville...

Jacqueline et Joël reprennent l'avion pour Nantes et nous allons continuer notre remontée tous seuls.
Cefalu au petit matin


Noëlle installe sa ligne de traine.




Le mouillage de Vulcano. Morgane est à la limite des eaux blanches de bulles de gaz





Sur le cratère de Vulcano


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Vulcano : le cratère































La digue du port



Morgane, la ville de Torre del Greco et le Vésuve

Au vatican dans Rome

Sur une place de Rome

Dernière soirée ensemble























samedi 25 août 2012

De Corfou à la Sicile




Judith et Sébastien ayant repris leur avion nous allons au mouillage dans la baie d'Afionas sur la côte nord-ouest de Corfou.
La météo pour traverser sur la Sicile n'est pas idéale, mais pas mauvaise non plus (peu de vent au début, puis bon vent de nord qui faiblira ensuite, nous décidons de partir car nous avons rendez-vous avec Claudia et sa famille en Sicile.
Nous quittons Corfou tôt le matin, et comme prévu au moteur, puis au travers avec le vent qui monte et le bateau marche alors très vite. Belle nuit de navigation au cours de laquelle nous apercevons les lumières de la Calabre, et des bouées de pêcheurs très et même beaucoup trop près.
Puis le vent faiblit avec le petit jour, devient de face avec petite houle et quelques grains, nous mettons le moteur.
En fin d'après midi nous virons la pointe de la botte italienne et remontons vers le détroit de Messine. Il fait nuit, nous évitons de naviguer au centre pour ne pas être génés par le trafic. Nous nous faisons une grande frayeur, quand tout d'un coup je vois une lumière s'allumer juste devant. A peine le temps de débrancher le pilote et de donner un coup de barre, pour éviter une barque de pêcheurs non éclairée (au dernier moment, ils allument une torche pour se signaler !!).
Grosse pluie pour arriver à Reggio Di Calabre à 1h du matin, amarrage au quai du port de commerce (dans une eau crasseuse et puante car la station d'épuration débordait en raison des orages), trempés mais contents.
Le lendemain, à 7h, réveil par le personnel du port qui nous fait savoir que étant sur le quai d'un ferry nous devons partir . Il fait beau, passons le détroit de Messine (attention au trafic traversier incessant) tranquillement, Charybde et Scylla se montrent cléments, puis mouillage à Tindari (pas terrible : trop de fond) puis Cefalu.
A Cefalu (très belle basilique avec un superbe Christ Pantocrator en mosaique d'inspiration byzantine) nous retrouvons Claudia, Robert, Camille et Agathe. Noëlle est contente de jouer à la grand-mère surtout qu'Agathe a bien changé. Nous passons 3 jours à profiter de la famille, de la plage ...
Nous faisons la connaissance d Nicolas et Siri qui ont aussi un Oceanis 430 (Freja) et qui y ont beaucoup travaillé. Ils nous donnent beaucoup d'idées et de conseils sur le bateau : qu'est ce qui va casser, comment réparer, les améliorations... Il y a tant à faire sur un bateau.
Ensuite nous allons à Palerme, ou Gulio nous trouve une place de port superbement placé au centre ville et pas cher. Nous visitons Palerme et louons une voiture pour 4 jours pour faire un tour express de l'ile.
La Sicile nous a séduits pour ses vestiges grecs et romains, ses belles églises  richement décorées (coup de coeur pour la chapelle Palatine de Palerme), ses points de vue (Taormine, marais salans de la côte ouest), son volcan l'Etna, ses villages dans les montagnes, et surtout Palerme ville témoignant d'une richesse lointaine mais toujours vivante.

Le 22 août nous allons à l'aéroport chercher nos copains bretons qui vont nous accompagner sur une partie de notre route.

Quelques Informations pratiques :
Mouillage d'Afionas : Grande baie bien protégée des vents du Nord et Est. Fond de sable, on mouille par 4m de fond. Peu de voilier au mouillage. Rouleur en cas de houle. On peut marcher vers la pointe SW de la baie.

Traversée : Attention aux filets et surtout au bateau de pêche non éclairés.

Port de Regio Di Calabe : Port de commerce, il y a de la place pour un petit transit. On n'a mis le pied à terre que pour passer les amarres! Il y a un port de plaisance qui parait plein.

Mouillage de Tindari : On est arrivé un dimanche après midi. Plein de bateaux à moteur qui à 18h rentrent au port. On se rtrouve à 3 ou 4 voiliers pour la nuit. Les fonds tombent très très brusquement. On mouille par 15m. On n'a pas mis les pieds à terre.

Mouillage de Cefalu : On est allé au mouillage côté Est dans l'avant port. Bonne tenue, on peut se mettre près de la digue N, ou près des rochers (on a fait les deux). On mouille entre 2 et 5m de fond, sable. En 10mn à pied on arrive au Duomo. Petit ship sur le port. On peut aussi mouiller côté W (on n'y a pas été). Cefalu est une jolie petite ville avec une belle basilique. Touristique.

Port de Palerme. Nous avons été au centre ville invité dans une société nautique privée! Très bien situé. On traverse le boulevard et  on est en ville.

Noelle occupe son temps comme Pénélope...

Quelques dauphins

L'Etna vu de la pointe de la botte à la tombée du jour.
Pêcheur d'espadons dans le détroit de Messine

Camille sur les marches du Duomo de Cefalu

A la plage

Le Christ de Cefalu

Les bonnes glaces italiennes

Palerme pour le meilleur ....
... et pour le pire.
L'arche de la Noe dans la chapelle Palatine

Dans le magnifique cloitre de Monreale

















Marais salan de Marsala
Explosion sur L'Etna

Sur l'Etna

jeudi 9 août 2012

Prise en main du bateau en Grèce (Juin 2012)

Nous arrivons à Prevezza (côte Ouest de la Grèce) tout début juin.
Morgane est toujours à sec perché sur des étais.
Nous allons passer près de trois semaines pour y aménager, y faire des travaux d'entretien et d'amélioration et le caréner avant la mise à l'eau.
C'est un vrai plaisir de s'approprier ce beau bateau, d'y ranger nos affaires, comme quand on emménage dans un nouvel appartements, surtout que Morgane offre beaucoup plus de rangement que nos précédents bateaux.
Toutes nos affaires trouvent leur place, même si Noelle se plaint de manque de tiroirs !
Nous changeons 4 hublots latéraux qui étaient fendus au niveau des vis de fixation, nettoyons et repeignons les boulons de quille, remettons en route le moteur d'annexe (démontage du carburateur), nettoyons la chaine du mouillage secondaire en la tapant au marteau et en la tirant derrière la voiture sur le terre plein, installons un émétteur récepteur AIS, refaisons le cablage électrique au niveau des batteries, changeons des batteries etc. De quoi bien s'occuper entre sieste et ouzo, car il fait déjà très chaud.
Nous nous lions avec Len et Leon couple danois qui possède un bateau identique au notre mais plus petit, et X et Y couple suédois sur un bateau acier de 40 ans construit entièrement pa eux-mêmes.
Puis c'est l'émotion de la première mise à l'eau, de la première manoeuvre de sortie de port, puis le premier mouillage. C'est alors le bonheur de se coucher dans un bateau qui flotte accroché à son ancre  dans un mouillage tranquille.

Commence alors un lent cabotage d'abord dans la mer intérieure de Prevezza, puis vers les iles de Lefkas, Meganesi, Kalamos, Ithaque, Cephallonie, Paxos et Corfou.
Ces iles offrent de magnifiques mouillages dans des petites criques souvent très sauvages. En général on ancre par l'avant et on passe des amarres à terre par l'arrière. Ces amarres sont tournées sur des oliviers ou des rochers.
Souvent nous sommes bercés par les cigales le soir, puis au matin réveillés par les cris des chèvres.
Dans ces mouillages nous sommes rarement seuls, mais ce n'est pas la surpopulation.
La trop forte chaleur nous assomme. Nous ne pouvons aller marcher qu'à partir de 18h et encore en transpirant. Les Grecs eux-mêmes reconnaissent qu'il fait spécialement chaud cette année.
Nous nous baignons deux ou trois fois par jour. La température de l'eau varie de 28 à 31°.

Puis nous remontons vers le Nord  pour aller chercher Sébastien et Judith qui arrivent par un vol d'Espagne à Corfou.
En cours de route nous rencontrons à Prevezza Claudine et Jean-Michel sur Marchoureve un SunFizz. Nous allons naviguer de concert avec eux pendant près de 3 semaines.  Longues baignades où l'on se retrouve après la sieste. Puis les dames sont heureuses  de faire les boutiques de lingeries ensemble, tandis que les hommes, assis devant ces mêmes boutiques, attendent patiemment en devisant technique. (Alors que nos routes se séparaient, ils nous rejoindrons pour nous donner un coup de main pour réparer notre enrouleur de GV et continuer un bout de chemin avec nous. Merci.)
Nous passons par Paxos, agréable mouillage cul au quai.
Nous appréçions beaucoup la ville de Corfou. Les iles du sud que nous avions visitées ont perdu leurs charmes architecturaux lors d'un gros tremblement de terre en 1953 qui a détruit la plupart des habitations reconstruites depuis. Corfou préservé de ce séisme garde un grand cachet de par ses ruelles, placettes, églises. On y retrouve des quartiers populaires, qui deviennent un peu trop touristiques à mon goût. Une statue en bronze nous y rappellent que les nazis ont déporté 2000 juifs de Corfou.

Avec Judith et Sébastien nous faisons le tour de l'ile avec des mouillages un peu rouleurs, puis descendons vers le sud. Belle et seule  journée de vent entre le nord de Corfou et Paxos. Vent NW 25 à 30 noeuds,: entrée pas évidente avec une grosse houle dans la petite baie de Lakka, mais bonheur de mouiller dans 3m d'eau turquoise et plate.
En arrivant sur Lefkas Sébastien pêche un thon de 7 kg! Pas peu fier il met 25 minutes à le remonter à bord. Judith nous cuisine les oeufs et le foie grillés puis les darnes à l'escabèche: un régal de régal.
C'est à nouveau les beaux mouillages des iles ioniennes.
C'est le pays de Pénélope et Ulysse. Peu de vestiges rappellent ce passé. Mais dans ces mouillages sauvages on se dit qu'ici rien n'a changé depuis l'Odyssée.
Nous faisons le tour d'Ithaque en moto et découvrons  l'intérieur, champs d'olivier, bergeries et troupeaux de moutons et de chèvres, superbes points de vue sur les criques et les autres iles alentour.

Retour sur Corfou pour l'avion de Judith et Sébastien.
Nous aussi nous allons dire au revoir à la Grèce. Nous préparons notre traversée vers la Sicile.

Quelques informations pratiques :

Penadant ce mois et demi de navigation en Grèce, nous n'avons jamais été dans les marinas (merci le dessal), toujours à l'ancre, soit en mouillage forain, soit le cul au quai dans les petits ports. Pas de taxexe de port sauf à Paxos (16 euros pour le cul au quai sans électricité ni eau).

Les mouillages :
Prevezza : dans la mer intérieure côté NE de la ville. Mouillage bien abrité, par 5m de fond, relativement fréquenté, mais toujours de la place et loin de l'agitation du quai de la ville.
Lefkas : Nous avons été au quai. Un peu bruyant avec pas mal de passage sur le quai. Nous avons aussi mouillé entre la marina et le quai. Très calme. (fond de vase, 3-5m). Peu de place. Lefkas, petite ville agréable qui se réveille de la sieste à partir de 18h...
Lefkas : Nidri, vaste baie bien abrité. Attention aux rafales. Ship bien achalandé (chez George). Beaucoup de bateaux, mais beaucoup de place.
Port Kalamos : On mouille et on se place cul au quai. Le port s'est rempli car il y a eu un fort vent. Mouiller assez long. Nous, notre ancre a dérapé, heureusement que j'ai pu fixer une amarre sur la pendille du bateau de pêche qui était à côté de nous. Nous avons bien aimé ce petit port.




Noëlle modifie le nom du bateau

Tranquillité du chenal de Prevezza, bon site de pêche

Dernier coup de rouleau

Emotion de la première mise à l'eau

Premier mouillage

Lefkas : Les clochers ont été reconstruits en metal après le seisme


Meganesi : Vathi


Tout le monde recherche l'ombre

Meganisi : Mouillage sur les oliviers

Meganisi : Mouillage solitaire, amarres sur les rochers