Le 9 septembre nous quittons Rome et remontons plein Nord. Il fait beau et un petit vent de travers rend la navigation agréable.
Un passager clandestin |
A l'Isolotto nous étions le seul bateau au mouillage entre un ilot et la terre, mais cela a été agité tant que les bateaux au moteur rentraient du week end depuis les iles proches.
Nous arrivons ensuite à l'ile d'Elbe et mouillons dans la baie de Porto Ferraio.
Les ferry décorés italiens |
A regret nous ne passons qu'une nuit içi, car le temps va se dégrader.
Lever de soleil dans la rade de Porto Ferraio |
Nous rejoignons la Corse et mouillons à Erbalunga.
Nous sommes surpris de trouver un fond de sable dans cet environnement de cailloux.Le mouillage est superbe, nous y serons seuls pour la nuit. descente à terre au village.
Mouillage d'Erbalouga |
Passage d'un grain à Bastia |
En fin de nuit nous partons pour la traversée vers le continent. Au lever du soleil, nous passons entre le cap corse et l'ilot de la Giraglia, puis cap plein Est. Nous ferons la moitié de la traversée à la voile le reste au moteur. Les quarts de nuit de Noelle et Adrien ont été un peu stressants car nous sommes pile poil sur la ligne des cargos et ferry sans compter quelques pécheurs et autres plaisanciers.
Porquerolles est toujours aussi belle. Cela fait du bien de s'y promener et d'y respirer pins et eucalyptus.
Souvenirs de Corse |
Belle navigation en rade de Hyères, mouillage devant la plage de Notre Dame, rebalade.
Par un bon vent d'est nous passons Sicié remontons par force 6 établi la baie de Six fours et mouillons en solitaire devant la plage.
Nous mouillons pour le déjeuner à Sugiton, et allons mouiller à Marseille devant le port de la pointe rouge. Retrouvaille avec la famille...
Après deux nuits au port du frioul (Jenny et Adrien nous y quittent) , nous allons au port de Corbières au nord de Marseille où le bateau est sorti de l'eau.
Cela sera le port d'hivernage.
Voilà la fin de ce beau voyage.
Mais ceci est une autre histoire ....