De Bora-Bora à Malololay (Fidji)
Avant de quitter Bora Bora et la
Polynésie nous faisons un plein de nourriture et avons la chance
d'avoir un contact paysan sur le Motu Tevairoa en face de Vaiatape.
Là deux mondes coexistent sans se côtoyer ni se voir : les
touristes des hôtels de luxe en petites paillotes sur pilotis et à
l'intérieur du motu quelques familles de paysans bien isolées qui
font pousser des légumes et des fruits sur un terrain sablonneux
irrigué grâce à la récupération d'eau de pluie . Nous achetons
tomates, courgettes, concombres, papayes....
Nous remontons l'ancre pour la dernière
fois en Polynésie française et partons vers l’île de Palmerston
une des îles Cook.
C'est 5 jours (670 miles) d'une
navigation alternant bon vent portant et calme plat pendant lesquels
nous utilisons le moteur.
Nous avons choisi l'île de Palmerston
en raison de son histoire particulière ; tous les habitants
(aujourd'hui une cinquantaine) descendent du même patriarche William
Marster qui s'établit sur cette île déserte dans les année 1860
avec 3 femmes dont il a eu 21 enfants... Il y avait défini des
règles précises pour les mariages (afin d'éviter la consanguinité)
pour la propriété des terres, imposé l'anglais et la religion de
Zion.
Cette île est ravitaillée une fois
tous les 4 mois, seuls les rares voiliers de passage assurent un lien
qui ne soit pas virtuel avec l'extérieur pendant ces 4 mois.
La population cultive cet isolement en
refusant l'installation d’hôtels et même d'une piste
d’atterrissage. Évidemment il y a le téléphone et internet
(petit débit ).
La veille au matin alors que nous
sommes au moteur, grosse frayeur : une baleine qui sort à 20m
du bateau à babord, puis à tribord ; il ne faudrait pas
qu'elle est idée de se rapprocher d'avantage ; ce sont les
baleines à bosse ,il y en a beaucoup dans le secteur.
Mais avant d'arriver sur cette île
nous avons eu une autre frayeur : à l'approche du mouillage,
au moteur, une odeur de brûler provient de l'habitacle, je comprends
tout de suite que l'alternateur est en train de cramer car il donnait
des signes de faiblesse depuis Tahiti. Avec un moteur qui sent
l'incendie et qui hurle (car la courroie patine sur la poulie de
l'alternateur) nous arrivons péniblement au mouillage. Plus de peur
que de mal car nous avons un alternateur de rechange (en grand voyage
et si loin de tout il vaut mieux prendre ses précautions)...
L’île de Palmerston possède un
lagon magnifique inaccessible malheureusement pour les voiliers,
seuls les gens du pays peuvent emprunter avec de petites embarcations
les passes étroites et sinueuses truffées de patates de corail où
un courant assez fort se fait un plaisir de vous faire aller en
crabe...
C'est donc Eddy qui est notre passeur
et notre famille d'accueil à terre.
Pour nous Palmerston a été notre coup
de cœur.
Outre le lagon très sauvage et coloré
de toutes les teintes de bleu et de vert, on y ressent paix, harmonie
et cohésion sociale, certes basées sur un attachement très fort à
la religion et la vénération de l'ancêtre. L'école (qui fait
toutes les classes de la maternelle au lycée) en est un exemple :
très bien fournie en matériel, tout y est en ordre, comme très
souvent les élèves sont bien habillés en uniforme, vraiment très
propres sur eux, ils travaillent souvent en autonomie (beaucoup de
niveaux pour peu d'enseignants) . Je me retrouve pendant 2 heures à
expliquer des mathématiques ( combinaisons et arrangement) dont les
concepts dépassent un peu l'enseignante qui n'est pas experte...
Même si la population aime son
insularité, l'étranger de passage y est bien accueilli. En échange
de cette hospitalité (en particulier les repas de midi) nous faisons
des cadeaux très appréciés : rapalas, leurres et hameçons,
nos vieilles drisses trouvent une nouvelle jeunesse pour amarrer les
toits des maisons en prévision du prochain cyclone.
Nous y rencontrons la famille de Tom
Neales l'ermite de Suwarov, ils ont bien connu Bernard Moitessier.
Le bateau de ravitaillement est passé
il y a trois jours ce qui permet à Bill de nous offrir des ice
cream. Le bateau doit repasser en fin de semaine, c'est donc le
moment d'aller pêcher les gros perroquets (spécialités de l'île)
de les préparer et les congeler pour expédition vers la capitale.
Nous restons trop peu de temps en
particulier Noëlle n'a pas eu le temps d'aller chasser le crabe de
cocotier, mais devons quitter avec regret ce petit coin de
civilisation si particulier...
Nous partons en direction Niue à trois
jours de navigation. Mais à quelques miles des côtes notre routeur
nous indiquant un coup de vent d'ouest dans les trois jours à venir
rendant le mouillage dangereux. Nous décidons de ne pas nous arrêter
dans cette île qui est parait-il le plus petit état du monde et
continuons pour 3 jours de navigation supplémentaires en directions
des îles du royaume des Tonga et plus exactement le Va'vau Group, un
peu frustré de passer aussi près d'une escale attendue...
C'est ici que l' on franchit la
ligne(arbitraire) de séparation de jour : nous devions arriver
un dimanche mais en fait c'est lundi, nous n'avons pas eu de
dimanche.. .pas si simple : il faut changer de date sur le
calendrier mais surtout dans notre tête.
Le Va'vau Group est constitué d’îles
et îlots qui ne sont ni volcaniques ni coralliens mais des plateaux
calcaires soulevés de la mer avec des altitudes modestes . Entre ces
îles, la mer est calme avec de nombreux mouillages. La navigation y
est agréable et de plus il y a du poisson !
Le Va'vau group est réputé car les
baleines d’Antarctique y viennent pour mettre bas dans des eaux
chaudes et abritées de la houle. Malheureusement nous sommes trop
tôt en saison pour les admirer.
La capitale Neiafu (6000 habitants) est
une bourgade tranquille à l'image de ses habitants, les hommes
souvent en jupe, les écoliers toujours avec de plus une ceinture
tressée en pandannus.
Le petit marché où se retrouvent les
producteurs installés sur les îles avoisinantes nous permet de
faire le plein de frais.
Nous assistons sur le port à
l’au-revoir des habitants, en habits traditionnels, à un des leurs
mort que l'on embarque sur un bateau pour la capitale où il sera
enterré. Très peu de démonstration, mais beaucoup d'émotion et de
dignité.
Nous faisons peu de rencontres par
manque de temps, et le dimanche au village nous ne voyons pas âme
qui vive. le repos du dimanche est sacré, personne ne sort de chez
soi !
Nous passons une petite dizaine de
jours ici dont trois jours dans un mouillage solitaire pour laisser
passer un coup de vent. C'est trop court mais nous avons de la route
à faire.
Le 7 juin nous quittons les Tongas que
nous avons juste effleurés pour les Fidji.
Nous avons décidé d'aller directement
sur la capitale Suva pour essayer de faire réviser la survie et de
trouver une place pour laisser Morgane pendant les 2 mois de retour
en France pour jouer aux grands parents.
C'est encore 3 jours de navigation et
pas des plus agréable. Même si nous sommes dans une région
d'alizés, des fronts passent souvent entraînant des renverses de
vent brutales une mer hachée forte. C'est ce que nous avons eu :
En quelques minutes le vent monte à 30 nœuds en se mettant de face
et nous nous retrouvons dans une lessiveuse. Ayant dû bricoler dans
la cabine avant la tête renversée à resserrer les hublots
j’attrape le mal de mer. C'est la première fois sur mon bateau !
Un peu décourageant de se retrouver à 67 ans assis dans le fond du
cockpit avec un seau ..
Une grosse vague en profite pour casser
un pied de chandelier (un peu corrodé avec l'âge).
Heureusement cela ne dure pas.
Côté pêche, le poisson içi c'est
gros : Alors que nous remontons une grosse dorade coryphène
nous voyons la gueule d'un requin qui essaye vainement de nous la
piquer. Arrivée au bateau la dorade casse la ligne : c'était
son jour de chance elle aura échappée au requin et à nous !
Une autre fois un gros thon après vingt minutes d'effort entraîne
notre belle canne son moulinet et son fil au fond.....Noëlle est
furax .. Comme quoi on ne gagne pas à tous les coups !
Le 9 juin au matin nous passons entre
les premières îles des Fidji (Oneata Passage) mais n'avons pas le
droit de nous y arrêter car nous n'avons pas encore fait notre
entrée officielle aux Fidji.
Ici les autorités sont assez
strictes. Nous retrouvons des îles volcaniques et coralliennes très
verdoyantes.
Nous arrivons à Suva le lendemain et
mouillons devant le yacht club après avoir pris contact avec les
autorités par radio. Nous sommes considérés en quarantaine et
attendons le lendemain pour voir arriver les autorités sanitaires
qui après avoir constaté que nous sommes en bonne santé donnent
leur feu vert aux autres autorités (Immigration, Douanes et Bio
Sécurité) à venir à bord dans l’après-midi. On craignait un
peu le contrôle de la Bio Sécurité et nous avions achevé avant
d'arriver jambon, saucisson mais il nous restait pas mal de fruits et
de légumes. Le contrôle a été très rapide : il nous est
interdit de débarquer de la nourriture et nos poubelles !
Une fois tout cela effectué nous
sommes autorisés à poser le pied à terre : enfin !
Suva est une ville qui paraît
importante par ses embouteillages, sa vie trépidante, ses magasins
comme on n'était plus habitué à voir, son grand marché bien
achalandé mais en fait elle est peu étendue mais vit intensément.
Ici la population change ce ne sont plus des Polynésie mais des Mélanésiens: ils ont les cheveux crépus et les traits moins fins. Il y a aussi beaucoup d'indiens amenés comme presque esclaves pour travailler aux champs de coton à
la fin du 19ème et quelques chinois. En général les Fidjiens (en fait
les mélanésiens) sont agriculteurs, les indiens (qui sont aussi
Fidjiens) sont en villes dans les commerces ou le tertiare (tous les
chauffeurs de taxis sont d'origine indienne). Tous sont d'une extrême
gentillesse posant beaucoup de questions sur notre voyage....
Nous passons une semaine à Suva pour
faire des courses (remplacer la canne à pêche perdue, apporter la
survie à la révision ..) et des réparations (pied de chandelier,
robinet de la cuisine...).
Nous aimons bien l'ambiance de Suva qui
est la face moderne de ces îles loin des plages et des cocotiers.
Nous faisons une excursion à
l'intérieur de l'île avec notre premier Sevu Sevu : c'est la
cérémonie par laquelle on demande autorisation au chef de village
de mouiller, de se promener dans le village et alentour. Un protocole
est à respecter : pas de chapeau pas de lunettes noires, tout
le monde en jupe, un cadeau pour le chef (des racines de Kawa avec
lesquelles ils font une boisson pas terrible qui aurait tendance à
calmer à endormir), un petit discours du chef en fidjien, quelques
claquements de mains beaucoup de « bula bula », un petit
exposé sur qui nous sommes et ce que nous souhaitons faire et le
chef nous remercie et nous donne son autorisation. En échange du
cadeau il nous offre sa protection et souvent désigne un guide pour
nous accompagner aux alentours. C'est pour nous l'occasion d'avoir un
vrai échange avec les villageois...
Nous quittons Suva pour l'île Beqa ;
celle des hommes qui marchent sur le feu, mais ce jour là ils sont de
repos ...: Le mouillage n'est pas évident car peu de sable et
beaucoup de corail.
Nous y faisons le sevu sevu et
accompagné d'un guide nous montons à un petit col. Au cours de la
marche,notre guide tombe plusieurs fois, sans doute un excès de kawa
la veille. Nous assistons au plus beau coucher de soleil qu'il nous
ait été donné de voir : un ciel embrasé de mille teintes or,
rouge et la mer qui ne voulait pas être en reste dans ce camaieu....
Puis direction l'ile Yanuca. Nous
faisons la connaissance de 2 petits bateaux néo zélandais et allons
faire le sevu sevu avec eux à la seule maison sur la berge. Comme
nous le faisons l'après midi nous buvons le kawa (la aussi un petit
protocole a respecter avec le mot Bula et les claquements de mains)
J'offre souvent à cette occasion un globe gonflable qui me permet
d'expliquer aux enfants et adultes notre voyage, où est la France
(exactement à l'opposé des Fidji). Cette fois ci cela se termine
avec des chansons des néo zélandais et des fidjiens ... De bons
moments !
A 15mn de marche du mouillage nous
visitons l'école impressionnante par sa taille, sa propreté, le
nombre d'enseignants, le matériel. Au village en contre bas de
l'école beaucoup de femmes travaillent les feuilles de pandanus pour
fabriquer d'immenses tapis. Ce travail se fait sous le toit d'une
grande case communautaire.
De retour au mouillage à notre
étonnement, la dame qui habite la maison sur la plage nous demande
des livres . Heureusement nous en trouvons 2 en anglais dans
notre bibliothèque...
Puis nous naviguons une nuit pour l’île
de Ono où nous avons rendez vous avec nos copains grenoblois
Christine et Yves du bateau Orionde rencontrés l'année dernière à
Panama. Ils nous rejoignent dans la nuit suivante guidés par la VHF
et notre feu de mouillage. Cela fait du bien de retrouver des amis,
surtout que cette année ,hormis l'ARC, nous n'avons pas rencontrés
d'autres voileux. Pendant 10 jours nous allons naviguer de conserve
visitant plusieurs mouillages bien abrités de Ono et Kadavu,
partageant balades à pied sur les quelques sentiers (souvent pour
monter aux antennes pour .les telephones), superbes snorkeling (en
particulier nage avec les raies manta de près de 4 m d'envergure, la
gueule ouverte ou l'on voit des petits poissons nettoyant le fond de
bouche (quel spectacle de voir ces raies qui ont l'air de voler
majestueusement!), sevu sevu et dégustation (?) de kawa avec les
locaux, visites des villages et discussions avec les habitants,
ramassage de coquillages, apéros et bonnes petites bouffes... Ces
dix jours m'ont redonné envie de continuer le voyage (j'avais eu un
coup de blues après avoir été malade dans la navigation pour
arriver aux Fidji, un de ces moments où on se demande ce que l'on
fait là …)
Nous quittons Kadavu pour notre
dernière étape cette fois ci l'ile de Mololai et la marina de
Musket Cove. Que nous atteignons en une vingtaine d'heures.
Beaucoup de bateaux au mouillage nous y
retrouvons tous les voiliers du World Arc que nous avions vus en
Polynésie, puis aux Tongas.
En 2 jours nous faisons le ménage,
quelques bricolages et abandonnons Morgane le temps d'un
aller retour en France pour les deux mois de vacances occasion de
tenir nos rôles de grands parents.
A bientôt.
Pour les voileux
La météo dans ce coin n'est pas
toujours facile ; le régime d'alizé est pertubé par des
dépressions qui passent au sud, donc des passages de front avec des
sautes de vent brutales à l'ouest et parfois des vents très
faibles.
Palmerston : Appeler
sur la VHF avant d'arriver (c'est en général le fils de Tom Neale
qui répond dans un anglais parfait).
Corps mort POS 18°02.859S 163°11.578
W. En fait notre corps mort est une ancre sur le plateau coralien. On
s'amarre en bout du bout . On mouille aussi notre ancre et 20m de
chaine au cas où !
Ne pas rester si le vent tourne à
l'ouest. Ne pas essayer d'aller en annexe à terre. Passe très peu
profonde avec beaucoup de patates de corail et du courant. Prévoir
des cadeaux pour les hotes : matériel de pêche, amarres,
tee-shirt … (Normalement interdiction de débarquer fruits et
légumes, alcool). Les chiens sont interdits sur l'île.
Tongas Va'vau Group :
Nous avons fait les formalités au
bureau exceptionnellement car il y avait beaucoup de voiliers (en
même temps que le World ARC qui se mettait aussi à l'abri d'un
front). D'habitude les autorités viennent à bord quand on arrive au
quai sur la gauche.
En commandant 24h avant de partir on
peut avoir du diesel détaxé livré par camion (150 l minimum).
Neiafu
Pas de mouillage sur ancre.Beaucoup de
bouées (payantes). POS 18°39.569S 173°58.992W débarquement en
annexe au bar.
Tapana : mouillage très
sauvage POS 18°42.453S 173°59.207W 13m de fond sable peu de corail.
Lisa Beach : très proche
de Tapana mais plus abrité pour les 30 nœuds prévus.10m de fond
sable. POS 18°41.845S 173°59.914 W. débarquement sur la plage un
petit sentier démarre derrière la vieille ferme perlière. Bonne
tenue et très très bien abrité des vents E SE NE. Énormes
chauve-souris.
Nuku POS 18°42.702S 174°02.264W
10m sable ET corail.
Port Maurele Nous avons pris une
des 3 bouées POS 18°42.014S 174°01.787W
Fidji
Arrivée à SUVA : une
heure avant d'arriver on a appelé le port control qui nous a demandé
d'aller mouiller devant le yacht club et d'appeler le yacht club.
Arrivés un dimanche nous avons vu
l'hygiène venir à bord le lundi matin, et custom immigration et
Bio sécurité en tir groupé dans l'après midi. Pas d'inspection du
bateau, juste des questionnaires.
Le lendemain il faut visiter pour payer et obtenir les crusing permits Hygiène, port et custom.
Le lendemain il faut visiter pour payer et obtenir les crusing permits Hygiène, port et custom.
Mouillage POS 18°07.382S 178°25.4 E
9m de fond bonne vase. Attention il y a une épave pas loin immergée
à marée basse avec une petite perche.
Ile de Beqa mouillage à Vaga Bay
POS 18°24.115S 178°06.115 E 15m de fond Vase.
Attention c'est un plateau de corail
avec deux grosses patates signalées par des bouteilles de plastique
(une au centre l'autre un peu plus loin vers la gauche). On a essayé
à quatre reprises de mouiller, l'ancre glissait sur le plateau de
corail. On a finalement trouvé de la vase sur la gauche (en entrant) de la baie.
Ile de Yanuca : POS
18°22.753 S 177°59.084 E 15m de fond Corail et sable (eau très
claire)
Ile de ONO
Nabouwalu Bay Mouillage large
bien abrité POS 18°53.262S 178°27.754 15m de fond vase
autre mouillage POS 18°52.081S
178°28.812E fond rocheux qui ne tient pas ou tient trop bien !
Ile de VUROLEVU
Mouillage de jour pour aller voir les
raies manta POS 18°51.650S 178°30.980E
Ile de Kadavu
Kavala Bay POS 18°58.840 S
178°25.107 E 13 m de fond sable et vase.
Kaseleka mouillage de jour POS
18°56.664 S 178°22.701 E 10m de fond
Daku POS 18°58.336 S 178°16.486
E 13m de fond sable vase
Vunisei POS 19°02.791 S
178°09.408 E 5m de fond sable
Ile Malololai
Attention au coraux en entrant jusqu'au
mouillage sur bouées.
Mouillage sur bouée POS 17°46.224 S
177°11.348 E
Une petite partie du plein de frais au départ de Bora Bora |
Dernier coucher de soleil en Polynésie |
Dernière vérification avant le départ |
En route pour les îles Cook |
Une des deux baleines à bosse |
Palmerston vue du mouillage |
Palmerston, en allant à l'église |
L'épouse et la fille de Tom Neale |
L'office de Pentecôte: jupe longue et chapeau obligatoires pour les dames |
Cours de mathématiques à l'école de Palmerston |
Le bateau au mouillage de Palmerston derrière la barrière de corail |
Le repas communautaire de la Pentecôte |
Cours de musique |
La cuisine d' Eddy notre hôte |
La tombe du patriarche toujours vénéré |
Bill, figure de Palmerston, accroche notre drapeau français. |
Le magnifique lagon de Palmerston |
Préparation des poissons perroquets pour l'expédition, le bateau va passer dans deux jours |
Ici on dort en plein air avec une moustiquaire |
Petite dorade coryphène |
Sous spi pour aller aux Tonga |
Les baleines à bosse viennent aux tongas depuis l' Antartique pour s'y reproduire Tableau en Tapa |
Dentelle avec les feuilles de pandanus |
Jupe plus tablier l'habit traditionnel encore beaucoup porté. |
Ici les garçons vont à l'école en jupe |
Les blattes cauchemard des marins |
Tombe richement décorée |
Le cochon est un des emblèmes des Tongas, il y en a partout |
Les haies de Poinsettia |
L'habitat est souvent très modeste |
Aux Tongas groupe des Vavau: vue de NEIFAU |
De beaux chitons |
Bénitier géant |
Merveilleuse étoile de mer |
Adieu au mort qui part en bateau pour la capitale |
En route pour les Fidji, pas du beau temps en perspective |
Cette belle dorade a échappé à un requin qui tentait de la manger
et à nous qui tentions de la remonter à bord: c'était son jour de chance !
|
Au mouillage à Suva aux Fidji , une épave très peu visible |
La garde présidentielle |
Les épiphytes sont partout |
Les racines de kawa |
Le kawa en poudre |
Les racines conditionnées pour les cadeaux traditionnels |
Les sacs en feuilles de pandanus |
Balade au milieu des cultures de kawa |
En jupe pour le Sevu Sevu |
La dégustation du kawa servi dans le TANO- A |
Préparation du pandanus |
Confection de grands tapis en pandanus |
Drôles de têtes au marché de Suva |
Au marché de Suva les porteurs attendent leurs clients |
Tous en jupe pour le Sevu Sevu |
Préparation de la salade de fougères |
Tournoi de rugby des jeunes. Ils en sont fans |
Le traditionnel Lali sorte de tambour en bois encore utilisé pour rassembler les villageois |
Mouillage à Kadavu, un petit air de Bretagne |
Bienvenue à Nadi |
Le grand temple hindou de SRI SIVA SUBRAMANIYA |
De très vieux manguiers |
Le plus beau coucher de soleil de notre séjour |
Morgane au quai attend notre retour |